PRESSE

PIZZICATO

“Tenor Cyrille Dubois deserves unreserved praise. His well-articulated voice is clear, sensual and very personal in melodies that are at times upbeat and joyful, at times introspective and melancholy. Dubois’ voice adapts perfectly to each title with a breathtaking spontaneity and immediacy. […] And so this troupe – the ensemble musicians are no less excellent than Dubois – has created a sophisticated, exciting musical show that finds a direct path from the ear to the heart.“

DIAPASONS

TECHNIQUE : 4,5/5

“ (…) la cohérence du projet est assurée par les arrangements pour piano et quintette à vent. Signés par Mickaël Ertzscheid et Frank Sibold, de l’ensemble ArteCombo, ils tissent de subtiles correspondances d’un compositeur à l’autre. Il n’y a plus qu’à se laisser séduire par la finesse des alliages de timbres et la mise en place rythmique exemplaire – jusque dans les plages purement instrumentales.
Dans cet écrin chambriste, le ténor de Dubois s’impose par sa lumière et ses reflets d’argent dès Little Jazz Bird, et par la fluidité de ses passages d’un registre à l’autre jusqu’au falsetto (My Ship, Summertime). (…) l’artiste séduit par sa musicalité versatile, son don pour le mystère (Lonely House), la douceur (Stay Well), la gaîté (Stairway to Paradise, Clap yo hands).

ODB-Opéra

Cyrille Dubois se lance dans la comédie musicale américaine, avec un talent inattendu. À l’aise sur scène, il incarne une silhouette à la Gene Kelly, accompagné du groupe ArteCombo. Les arrangements jazzy et le répertoire mêlent George Gershwin et Kurt Weill. Dubois interprète quatorze titres, dont « Swanee » et « It Ain’t necessarily so », avec une voix chaude et nuancée. Le spectacle se termine sur le swing de « Clap Yo’ hands », offrant un show dynamique et original.

FROGGY’S DELIGHT

Ce disque est la bande son du spectacle original du même nom. Le quintette à vent ArteCombo, le pianiste Michaël Ertzscheid et Cyrille Dubois nous emmènent donc dans le Broadway des années 30-50. Et c’est un véritable tourbillon musical. Le choix du quintette à vent est pertinent (en s’appuyant sur les arrangements fins de Michaël Ertzscheid et Frank Sibold, et puis il y a ce petit côté français, on a l’impression parfois d’entendre du Auric, du Milhaud ou du Poulenc) et Cyrille Dubois avec sa pétillante énergie virevolte continuellement prouvant qu’il excelle dans tous les répertoires (il faut entendre la sophistication de son Summertime !). On se laisse emporter, pourquoi pas des étoiles dans les yeux, aussi bien dans les moments joyeux que dans ceux plus poignants.